PI et CKPLAN

PI et CKPLAN

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“The methods of theoretical physics should be applicable to all those branches of thought in which the essential features are expressible with numbers.”

Paul Dirac ((from the speech at the Nobel Banquet in Stockholm, December 10, 1933)


"l'univers est nombre."
"l'univers est écrit en langage mathématique. " Galilée
Le nombre porte en lui sa dimension temporelle ET matérielle.



R.G.U. : Réalité Générale de l'Univers



et

le temps .






Et Dieu créa le nombre, comme mesure du temps, l'homme le chiffre.

Constante arithmétique (Cf constante cosmologique) :
CKPLAN=5,55382562855700000E-17



"13 chiffres significatifs, somme 66 "











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CARPE DIEM.



Rendons grâce à Dieu.


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jeudi 27 octobre 2022

carres magiques

 Carrés Frénicle (magictesseract.com)


Ligne n colonne p

Triangle de Pascal ligne n colonne p .... 2^n  1................1


2 La question du Carré - MELENCOLIA I - - artifexinopere



En mathématiques, un inverse est le nombre 1 divisé par un autre nombre (aussi appelé fraction unitaire), comme 1/3 ou 1/7. En base 10, le reste, et donc les chiffres, de 1/3 se répètent une fois : 0,3333… Néanmoins, la période répétitive du développement décimal de 1/7 est de six chiffres = 0,142857142857142857… De façon fortuite, les multiples de 1/7 sont des permutations cycliques de ces six chiffres :

1/7 = 0, 1 4 2 8 5 7…
2/7 = 0, 2 8 5 7 1 4…
3/7 = 0, 4 2 8 5 7 1…
4/7 = 0, 5 7 1 4 2 8…
5/7 = 0, 7 1 4 2 8 5…
6/7 = 0, 8 5 7 1 4 2…

Si ces chiffres sont disposés dans un carré, chaque ligne et chaque colonne donneront la même somme, en l'occurrence 1+4+2+8+5+7=27. Les diagonales ne donnant cependant pas 27, il ne s'agit pas d'un carré magique.

1 4 2 8 5 7
2 8 5 7 1 4
4 2 8 5 7 1
5 7 1 4 2 8
7 1 4 2 8 5
8 5 7 1 4 2

Tous les autres inverses de nombres premiers en base 10 avec une période maximum p-1 produisent des carrés dans lesquels toutes les lignes et les colonnes ont une somme identique, mais seuls quelques uns constituent des carrés magiques.




mercredi 19 octobre 2022

samedi 15 octobre 2022

Cône de lumière

 

Cône de lumière

Le cône de lumière centré sur un événement.

En physique, le cône de lumière est une notion fondamentale de la théorie de la relativité, permettant à partir d'un événement  la distinction entre les événements passés, les événements futurs et les événements inaccessibles (dans le passé comme dans le futur)1.

Le cône de lumière est ainsi désigné à la suite de Hermann Minkowski (-)2. Mathématiquement, un cône de lumière est un hypercône (en)3,4.

Dans le cadre de la relativité restreinte, les événements de l'espace-temps autres que  se divisent en trois catégories : le passé absolu et le futur absolu de  d'une part — ces événements se produisant à l'intérieur du cône —, et l'ailleurs d'autre part — qui est constitué des autres événements. Les événements intérieurs au cône peuvent être liés causalement avec  ; par contre les événements situés dans l'ailleurs de  sont dits causalement déconnectés de  et ne peuvent l'influencer ou être influencés par lui1.

Dans le cadre de la relativité générale, à chaque événement est attaché un cône de lumière infinitésimal, qui concerne les événements infiniment proches (au sens de la métrique lorentzienne). Alors qu'en relativité restreinte les cônes de lumière de tous les événements (dans un référentiel donné) sont parallèles entre eux, ce n'est plus le cas en relativité générale, en raison de la courbure de l'espace-temps5.


Intervalle d'espace-temps[modifier | modifier le code]

Un référentiel inertiel étant choisi, considérons deux événements séparés dans l'espace par la distance  et dans le temps par l'intervalle de temps . En relativité restreinte, ces deux quantités ne sont pas invariantes par changement de référentiel.

Par contre, en relativité restreinte, la quantité (notée formellement avec un carré)  est invariante par changement de référentiel, il en est de même pour son signenote 1.

En particulier, en fixant un événement noté , on classe chaque événement de l'espace-temps en fonction du signenote 2 de l'intervalle d'espace-temps qui le sépare de . Le signe de l'intervalle d'espace temps étant invariant par changement de référentiel, cette classification est indépendante de l'observateur et de son référentiel.

Bord du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements ne peuvent être joints depuis  que par un message ou influence allant à la vitesse de la lumière1. De plus, l'égalité  est l'équation du bord à trois dimensions d'un cône de révolution dans un espace à quatre dimensions.

D'où le nom de cône de lumière.

Intérieur du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements peuvent être joints depuis  par un message ou influence allant à la vitesse strictement inférieure à celle de la lumière : c'est a priori réaliste. Ainsi, il peut y avoir une relation de causalité entre  et l'un quelconque de ces événements1. De plus, l'égalité  est l'inéquation de l'intérieur à quatre dimensions d'un cône dans un espace à quatre dimensions.

La partie supérieure de l'intérieur du cône contient tous les événements futurs que l'on peut joindre à partir de .

La partie inférieure de l'intérieur du cône contient tous les événements passés à partir desquels on pouvait joindre .

Ainsi, si  correspond à un événement cosmologique, tel qu'une supernova, tous les événements  sur Terre précédant la vision de cette supernova sont situés à l'extérieur du cône. Ceux où cette supernova est visible sont situés au bord du cône, et à partir de là cette supernova est susceptible d'influer des événements sur Terre (tels que faire orienter des télescopes dans sa direction voire modifier des théories cosmologiques...), lesquels sont situés à l’intérieur supérieur du cône.

Extérieur du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements ne peuvent être joints depuis , car la vitesse de tout message ou influence est strictement inférieure à celle de la lumière en relativité restreinte : la jonction n'est pas réaliste.

Les événements qui sont dans cet extérieur du cône sont dits ailleurs par rapport à  et ne peuvent être en relation causale directe avec lui1.

De plus, l'égalité  est l'inéquation de l'extérieur à quatre dimensions d'un cône dans un espace à quatre dimensions.


On n'est pas très loin de Pythagore généralisé :


3333333....^n+4444444.....^n=5555555^n


le "3" le "4" et le "5" existent à la base .....


Intervalle d'espace-temps


Expression en relativité restreinte[modifier | modifier le code]

Dans l'espace euclidien en trois dimensions, le carré de la distance  entre deux points A et B de coordonnées (xA, yA, zA) et (xB, yB, zB) par rapport à un repère cartésien orthonormé s'exprime sous la forme :

ce que l'on écrit couramment de façon plus condensée

Il est évident qu'en physique classique, cette grandeur est invariante par changement de référentiel. Mais ce n'est plus le cas en physique relativiste.

Dans la géométrie de l'espace-temps de la relativité restreinte, on écrit le « carré de l'intervalle d'espace-temps », noté , entre deux événements A et B de coordonnées (tA, xA, yA, zA) et (tB, xB, yB, zB) dans un espace-temps à quatre dimensions (une de temps, soit t, et trois d'espace) sous la forme

ou

expression dans laquelle le facteur c2 (vitesse de la lumière au carré) s'impose par le biais des transformations de Lorentz ou des principes de la relativité restreinte, suivant la méthode utilisée pour justifier son invariance par changement de référentiel inertiel.

La pseudo-métrique, notée , est définie par  ou  suivant la convention de signes  ou  choisie1.




La relativité - Le cône de lumière (astrosurf.com)


https://www.luth.obspm.fr/~luthier/gourgoulhon/fr/master/relatM2.pdf

Sur le cliché, on voit cette très jeune étoile (âgée de seulement 100 000 ans), cachée dans l'obscurité par le bord d'un disque de gaz en rotation au niveau du col du sablier. Mais la lumière de cette protoétoile "fuit" au-dessus et au-dessous de ce disque, éclairant les cavités dans le gaz et la poussière environnants, ont expliqué la Nasa et l'Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué commun. "Cette vue de L1527 offre une fenêtre sur ce à quoi ressemblaient notre Soleil et notre système solaire à leurs débuts", illustrent-elles.




L'archétype de forme quadratique est la forme x2 + y2 + z2 sur ℝ3
qui définit la structure euclidienne et dont la racine carrée permet de calculer la norme d'un vecteur.


 Un autre exemple très classique est la forme x2 + y2 + z2 – t2 sur ℝ4
qui permet de définir l'espace de Minkowski utilisé en relativité restreinte

C'est pourquoi la théorie des formes quadratiques utilise le vocabulaire de la géométrie (orthogonalité).
 La géométrie est un bon guide pour aborder cette théorie, malgré quelques pièges, liés notamment aux questions de signes ou plus généralement au choix du corps dans lequel varient les coefficients.

  • La norme usuelle (euclidienne) d'un vecteur peut se calculer à l'aide de ses coordonnées dans un repère orthonormé à l'aide du théorème de Pythagore.
    • Dans le plan, si le vecteur  a pour coordonnées , sa norme s'écrit

      Si les points  et  ont pour coordonnées respectives  et  alors :
    • Dans l'espace, si le vecteur  a pour coordonnées , sa norme s'écrit :

      Si les points  et  ont pour coordonnées respectives  et  alors :

  • La norme (euclidienne) d'un vecteur peut s'obtenir à partir du produit scalaire du vecteur avec lui-même :




Bases de numération

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UnitConversion.org - the ultimate unit conversion resource.