Le chercheur Tamar Friedmann, de l'Université de Rochester (Etats-Unis) et son collègue Carl Hagen sont venus à une telle conclusion surprise en essayant de construire un modèle pratique des niveaux énergétiques auxquels les électrons peuvent se situer par rapport au noyau, dans un atome d'hydrogène.
"Ce qui est essentiel, c'est que notre découverte réunit de façon élégante la physique et les mathématiques. Je suis surpris de constater comment une formule purement mathématique du XVIIe siècle caractérise un système physique qui n'a découvert que 300 ans plus tard", a déclaré M.Friedmann.
Les chercheurs sont arrivés à cette conclusion en étudiant les mouvements des électrons sur les différents niveaux énergétiques. Plus l'électron était éloigné du noyau, plus son orbite ressemblait à un cercle parfait.
L'étude de ces cercles a permis de se rappeler une formule introduite par un mathématicien britannique en 1655 pour définir le nombre Pi. Les paramètres de cette formule reflétaient exactement la répartition des propriétés réelles et découvertes des niveaux énergétiques.
Selon les chercheurs, la découverte du sens physique du nombre Pi affirme l'existence de liens entre le monde abstrait des mathématiques et le monde réel de la physique.
PI et CKPLAN
Bienvenue
“The methods of theoretical physics should be applicable to all those branches of thought in which the essential features are expressible with numbers.”
— | Paul Dirac ((from the speech at the Nobel Banquet in Stockholm, December 10, 1933) |
"l'univers est nombre."
"l'univers est écrit en langage mathématique. " Galilée
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Le nombre porte en lui sa dimension temporelle ET matérielle.
R.G.U. : Réalité Générale de l'Univers
et
le temps .
Et Dieu créa le nombre, comme mesure du temps, l'homme le chiffre.
Constante arithmétique (Cf constante cosmologique) :
CKPLAN=5,55382562855700000E-17
"13 chiffres significatifs, somme 66 "
Me signaler par E-Mail , ou au tel , les inepties, ou erreurs ou imprécisions, banalités, ouverture de portes ouvertes, en faisant référence au message ECRIT ou vous n’êtes pas d'accord ou dans le doute, ou dans la compréhension , et non pas à des considérations philosophiques ou littéraires, générales .
CARPE DIEM.
Rendons grâce à Dieu.
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samedi 31 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
Evariste GALOIS
"Quand la concurrence c'est à dire l'égoisme ne règnera plus dans les sciences,
quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés,
on s'empressera de publier ses moindres observations pour peu qu'elles soient nouvelles,
et on ajoutera: "je ne sais pas le reste".
Evariste Galois, 1831
quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés,
on s'empressera de publier ses moindres observations pour peu qu'elles soient nouvelles,
et on ajoutera: "je ne sais pas le reste".
dimanche 11 décembre 2016
Source
samedi 26 novembre 2016
Conscience et physique quantique
La physique quantique pourrait-elle nous permettre d’en apprendre davantage sur la conscience ?
Le problème aujourd’hui réside dans l’interprétation de la physique quantique. Des controverses existent pour savoir en quoi la physique quantique est liée à la question de la conscience ; et tout le monde n’est pas d’accord pour dire que la conscience a quelque chose à voir avec la physique quantique. En revanche, des sources très sérieuses existent pour dire que cela est fortement possible, et notamment parmi les fondateurs de la physique quantique comme le mathématicien John Von Neumann, suivi notamment par Eugène Wigner. Pour eux, il existe un agent psychique : le fait de se concentrer, de penser à quelque chose, dégage une sorte d’énergie capable d’interagir avec la matière à l’échelle quantique. Leur interprétation consiste également à affirmer qu’un phénomène quantique doit être observé par une conscience, afin qu’il prenne réellement forme.
Ces interconnexions font que les états quantiques s’annulent, et qu’il n’y a qu’une forme qui se manifeste. La particularité de l’état quantique réside dans sa manifestation sous plusieurs formes, potentiellement. Cela part de la nature même de la matière, de la particule élémentaire, qui peut être une onde ou un corpuscule selon les conditions d’observation. Il existe une interprétation consistant à dire que c’est la conscience qui force la matière à se manifester de telle ou telle façon, et notamment d’adopter un comportement ondulatoire ou particulaire.
Une autre interprétation, se rapprochant davantage de la décohérence, consiste, elle, à dire que ce sont les interactions naturelles entre les objets quantiques qui figent les états quantiques et qui forcent la matière à adopter une forme plutôt qu’une autre.
Neuf fois neuf = quatre- vingt-un=9*9=81=999999999=81*12345679=37*333667*81= .... en base de numération 10 !!
37*333667
= 111011100110101100100111111111 en base 2
source
Le problème aujourd’hui réside dans l’interprétation de la physique quantique. Des controverses existent pour savoir en quoi la physique quantique est liée à la question de la conscience ; et tout le monde n’est pas d’accord pour dire que la conscience a quelque chose à voir avec la physique quantique. En revanche, des sources très sérieuses existent pour dire que cela est fortement possible, et notamment parmi les fondateurs de la physique quantique comme le mathématicien John Von Neumann, suivi notamment par Eugène Wigner. Pour eux, il existe un agent psychique : le fait de se concentrer, de penser à quelque chose, dégage une sorte d’énergie capable d’interagir avec la matière à l’échelle quantique. Leur interprétation consiste également à affirmer qu’un phénomène quantique doit être observé par une conscience, afin qu’il prenne réellement forme.
Ces interconnexions font que les états quantiques s’annulent, et qu’il n’y a qu’une forme qui se manifeste. La particularité de l’état quantique réside dans sa manifestation sous plusieurs formes, potentiellement. Cela part de la nature même de la matière, de la particule élémentaire, qui peut être une onde ou un corpuscule selon les conditions d’observation. Il existe une interprétation consistant à dire que c’est la conscience qui force la matière à se manifester de telle ou telle façon, et notamment d’adopter un comportement ondulatoire ou particulaire.
Une autre interprétation, se rapprochant davantage de la décohérence, consiste, elle, à dire que ce sont les interactions naturelles entre les objets quantiques qui figent les états quantiques et qui forcent la matière à adopter une forme plutôt qu’une autre.
Neuf fois neuf = quatre- vingt-un=9*9=81=999999999=81*12345679=37*333667*81= .... en base de numération 10 !!
37*333667
= 111011100110101100100111111111 en base 2
source
mercredi 23 novembre 2016
Nombre cyclique, phénix
Un nombre cyclique,
ou nombre phénix,
est un entier dont les permutations circulaires des chiffres correspondent aux multiples du nombre.
Le plus connu est 142857 :
142857 × 1 = 142857
142857 × 2 = 285714
142857 × 3 = 428571
142857 × 4 = 571428
142857 × 5 = 714285
142857 × 6 = 857142
Source
ou nombre phénix,
est un entier dont les permutations circulaires des chiffres correspondent aux multiples du nombre.
Le plus connu est 142857 :
142857 × 1 = 142857
142857 × 2 = 285714
142857 × 3 = 428571
142857 × 4 = 571428
142857 × 5 = 714285
142857 × 6 = 857142
Source
où b est la base (10 dans le cas du système décimal) et p est un nombre premier ne divisant pas b. Les nombres premiers p qui génèrent des nombre cycliques sont appelés nombres premiers longs.
Par exemple, le cas b = 10, p = 7 donne le nombre cyclique 142857.
A001913mardi 8 novembre 2016
Valeur approchée de PI
256/81
(16/9)^2
(16/9)^2
- Vers 1650 av.JC, les Egyptiens avaient comme valeur (16/9)2 qui vaut environ 3,16. Cette valeur a été retrouvée sur le fameux papyrus de Rhind, écrit par le scribe Ahmès, acheté par un Ecossais qui s'appelle ... Henry Rhind. Il est conservé au British museum.
- Ensuite, pi apparaît :
- En Chine vers 1200 av.JC, avec pour valeur 3.
- Dans la Bible vers 550 av.JC, avec pour valeur 3.
- En Grèce , avec en particulier Archimède en 250 av.JC qui donne l'encadrement 223/71 < pi< 22/7 et Ptolémée en 150 qui utilise 3 +8/60 + 30/3600 = 3,1416666.
- En Chine au Vème siècle , avec pour valeur 355/113.
- En Inde : 3 + 177/1250 = 3,1416 en 380 puis 3,16227 (racine carrée de 10) avec Brahmagupta en 640
- Au Moyen-Orient avec Al Khwarizmi en 800 (Ouzbekistan) et Al Kashi en 1429 (Turkestan) qui calcule 14 décimales de pi.
- En Europe : l'Italien Fibonacci, en 1220, trouve la valeur 3,141818, au Pays-Bas avec Van Ceulen (20 décimales en 1596 puis 34 décimales en 1609 !), en France avec Viète (9 décimales en 1593).
Valeur approchée de PI
256/81
(16/9)^2
(16/9)^2
- Vers 1650 av.JC, les Egyptiens avaient comme valeur (16/9)2 qui vaut environ 3,16. Cette valeur a été retrouvée sur le fameux papyrus de Rhind, écrit par le scribe Ahmès, acheté par un Ecossais qui s'appelle ... Henry Rhind. Il est conservé au British museum.
- Ensuite, pi apparaît :
- En Chine vers 1200 av.JC, avec pour valeur 3.
- Dans la Bible vers 550 av.JC, avec pour valeur 3.
- En Grèce , avec en particulier Archimède en 250 av.JC qui donne l'encadrement 223/71 < pi< 22/7 et Ptolémée en 150 qui utilise 3 +8/60 + 30/3600 = 3,1416666.
- En Chine au Vème siècle , avec pour valeur 355/113.
- En Inde : 3 + 177/1250 = 3,1416 en 380 puis 3,16227 (racine carrée de 10) avec Brahmagupta en 640
- Au Moyen-Orient avec Al Khwarizmi en 800 (Ouzbekistan) et Al Kashi en 1429 (Turkestan) qui calcule 14 décimales de pi.
- En Europe : l'Italien Fibonacci, en 1220, trouve la valeur 3,141818, au Pays-Bas avec Van Ceulen (20 décimales en 1596 puis 34 décimales en 1609 !), en France avec Viète (9 décimales en 1593).
lundi 31 octobre 2016
Théorème de Midy
Théorème de Midy
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En mathématiques, le théorème de Midy, dû au mathématicien français Étienne Midy[1],[2], est un énoncé concernant le développement décimal périodique d'une fraction a/p (comprise, sans perte de généralité, entre 0 et 1), où p est un nombre premier (différent de 2 et 5) tel que la période soit paire. Une telle fraction s'écrit
ou encore :
Par exemple,
dimanche 30 octobre 2016
dimanche 23 octobre 2016
Théorème des deux lunules
Soit le triangle ABC rectangle en B et le cercle circonscrit à ABC (de diamètre AC).
La lunule est la figure formée par le demi-disque de diamètre BC extérieur au triangle ABC, auquel on enlève son intersection avec le disque délimité par .
La lunule est la figure formée par le demi-disque de diamètre BA extérieur au triangle ABC, auquel on enlève son intersection avec le disque délimité par .
Alors la somme des aires de et de (en bleu sur la figure) est égale à l'aire du triangle ABC (en vert).
...........................................................
Soit un triangle ABC rectangle en B.
Les deux petites parties blanches représentent ce qui reste du demi-disque de diamètre AC quand on le prive du triangle ABC. La somme de leurs aires est donc
Les deux lunules sont les deux demi-disques de diamètre AB et BC privés de ces parties blanches. La somme de leurs aires est donc
Pour montrer le théorème, il suffit donc de montrer que , c'est-à-dire que la somme des aires des deux demi-disques de diamètre AB et BC est égale à l'aire du demi-disque de diamètre AC.
Or le théorème de Pythagore nous dit que
Donc en multipliant par on a
ce qui est l'égalité des aires recherchée.
Ce pi/8 me laisse perplexe .... la somme des 20 premières décimales de pi est égale à 100
La lunule est la figure formée par le demi-disque de diamètre BC extérieur au triangle ABC, auquel on enlève son intersection avec le disque délimité par .
La lunule est la figure formée par le demi-disque de diamètre BA extérieur au triangle ABC, auquel on enlève son intersection avec le disque délimité par .
Alors la somme des aires de et de (en bleu sur la figure) est égale à l'aire du triangle ABC (en vert).
...........................................................
Soit un triangle ABC rectangle en B.
Les deux petites parties blanches représentent ce qui reste du demi-disque de diamètre AC quand on le prive du triangle ABC. La somme de leurs aires est donc
Les deux lunules sont les deux demi-disques de diamètre AB et BC privés de ces parties blanches. La somme de leurs aires est donc
Or le théorème de Pythagore nous dit que
Ce pi/8 me laisse perplexe .... la somme des 20 premières décimales de pi est égale à 100
mardi 11 octobre 2016
332667
8/332667
0.000024048072096120144168192216240264288312336360384408432456... (period 999)0.000024 048 072 096 120 144 168 192 216 240 264 288 312 336 360 384 408^_\ 432 456 480 504 528 552 576 600 624 648 672 696 720 744 768 792 816 840 86^_\ 4 888 912 936 960 985 009 033 057 081 105 129 153 177 201 225 249 273 297 3^_\ 21 345 369 393 417 441 465 489 513 537 561 585 609 633 657 681 705 729 753^_\ 777 801 825 849 873 897 921 945 969 994 018 042 066 090 114 138 162 186 21^_\ 0 234 258 282 306 330 354 378 402 426 450 474 498 522 546 570 594 618 642 6^_\ 66 690 714 738 762 786 810 834 858 882 906 930 954 979 003 027 051 075 099^_\ 123 147 171 195 219 243 267 291 315 339 363 387 411 435 459 483 507 531 55^_\ 5 579 603 627 651 675 699 723 747 771 795 819 843 867 891 915 939 963 988 0^_\ 12 036 060 084 108 132 156 180 204 228 252 276 300 324 348 372 396 420 444^_\ 468 492 516 540 564 588 612 636 660 684 708 732 756 780 804 828 852 876 90^_\ 0 924 948 972 997 0210450690931171411651892132372612853093333^_\ 57381405429453477501525549573597621645669693717741765789^_\ 81383786188590993395798200603005407810212615017419822224^_\ 62702943183423663904144384624865105345585826066306546787^_\ 02726750774798822846870894918942966991015039063087111135^_\ 15918320723125527930332735137539942344747149551954356759^_\ 16156396636877117357597838078318558799039279519760000^_ (period 999)24 heures ........8 4 2
mardi 4 octobre 2016
Inverse des nombres premiers
Le tableau ci-dessous propose un classement des nombres premiers en fonction de la longueur de la période de leurs inverses.
L'inverse d'un nombre premier, noté 1/p possède un développement décimal périodique dont la longueur de la période est notée δ(p)
Ceci exclut les nombres premiers 2 et 5 dont l'inverse ne possède pas de développement décimal périodique
L'inverse d'un nombre premier, noté 1/p possède un développement décimal périodique dont la longueur de la période est notée δ(p)
Ceci exclut les nombres premiers 2 et 5 dont l'inverse ne possède pas de développement décimal périodique
Tableau des nombres premiers dont δp <101[modifier | modifier le code]
23, 4093, 8779 ..... En mathématiques, le théorème de Midy, dû au mathématicien français Étienne Midy[1],[2], est un énoncé concernant le développement décimal périodique d'une fraction a/p (comprise, sans perte de généralité, entre 0 et 1), où p est un nombre premier (différent de 2 et 5) tel que la période soit paire. Une telle fraction s'écrit |
lundi 12 septembre 2016
Age du cosmos
Le contenu, la géométrie et la topologie de l'univers selon Planck
L'âge du cosmos observable a été précisé, sa valeur est maintenant estimée à 13,77 milliards d'années avec une constante de Hubble qui vaut H0=67,8 +/-0,9 km s-1 Mpc-1.
Il est composé à 4,9 % de matière baryonique dont une partie importante ne se trouve pas sous forme d'étoiles.
Selon les estimations, son contenu en matière noire constitue 25,9 % de la masse de l'univers observable. On ne sait toujours pas de quoi est constituée cette matière noire (à l'exception d'une très faible fraction qui est sous forme de trois familles de neutrinos dont la somme des trois masses individuelles est inférieure à 23 eV).
Des contraintes ont cependant été établies sur les propriétés de ces particules comme l'ont annoncé les membres de la collaboration Planck l'année dernière.
L'énergie noire reste la composante dominante de l'univers observable aujourd'hui : elle constitue à 69,2 % la masse contenu dans son volume (rappelons que le paramètre décrivant le contenu en énergie noire d'un modèle de cosmologie relativiste standard se note ΩΛ et celui décrivant la matière noire et baryonique Ωm.
Leur somme est égal à 1 dans un univers exactement plat).
dimanche 11 septembre 2016
Deep Learning
La réponse est que l’univers est gouverné par un petit ensemble de toutes les fonctions possibles. En d’autres termes, quand les lois de la physique sont écrites avec les mathématiques, alors on peut les décrire en intégralité avec un ensemble de propriétés très simples. De ce fait, les réseaux de Deep Learning n’ont pas besoin d’analyser toutes les images, mais seulement une fraction.
Pour le mettre en perspective, on peut considérer la grandeur d’une fonction polynomiale qui est la taille de son plus grand exposant. Donc, une équation quadratique telle que y=x2 possède une grandeur de 2, l’équation y=x24 possède une grandeur de 24 et ainsi de suite. Évidemment, le nombre de grandeurs est infini, mais seul un petit sous-ensemble de polynomial apparaît dans les lois de la physique. Pour des raisons qu’on ne comprend pas encore totalement, notre univers peut être décrit précisément par des polynomiaux Hamiltoniens d’une faible grandeur selon Lin et Tegmark. En moyenne, les polynomiaux qui décrivent les lois de la physique possèdent des grandeurs allant de 2 à 4.
Les lois de la physique possèdent d’autres propriétés importantes. Par exemple, elles sont habituellement symétriques pour la rotation et la conversion. Faites pivoter un chat ou un chien en 360 degrés et l’apparence sera la même. Une conversion de l’image en 10 mètres, en 100 mètres et même en 1000 mètres et elle restera la même malgré quelques différences. Ces 2 processus simplifient l’identification du chat et du chien.
L’univers possède une autre propriété qui est exploitée par les réseaux de Deep Learning. C’est la hiérarchie de sa structure. Les particules élémentaires forment des atomes qui forment des molécules qui forment des cellules qui forment des organismes jusqu’aux planètes et aux galaxies.
Et les structures les plus complexes commencent toujours avec des étapes très simples.
samedi 3 septembre 2016
suites
1+3+5+..+(2n-1)= n2
durée
13+23+..+n3=[n(n+1)/2]2
matière , contenu
u(n)=n2(n+1)/2 et v(n)=n2(n-1)/2.
On a u(n)-v(n)=n2 et u(n)+v(n)=n3
On considère la somme des nombres impairs (2k-1) pour k allant de v(n)+1 à u(n).
Cette somme s'écrit:
(2*v(n)+1)+...+(2*u(n)-1).
Il y a u(n)-v(n)=n2 termes et la moyenne entre le premier et le dernier est u(n)+v(n)=n3.
La somme est donc égale à: n3*n2= n5.
1=15
5+7+9+11=25 (4 termes)
19+..+35=35 (9 termes)
49+51+..+79=45 (16 termes)
101+103+..+149=55 (25 termes)
La source de cette question est une note du professeur Etienne Midy dans les Nouvelles annales de mathématiques (tome 5, 1846, pp. 640-646). (Numérisé). La même année à l'Académie des sciences, il y a plusieurs notes à ce sujet. Mais ce résultat sur la suite des impairs est très ancien. Dans l'Encyclopédie méthodique [Mathématiques, tome II, 197-199, publié en 1785], Jean-Joseph Rallier des Ourmes (1701-1771) écrit (dans la langue de l'époque):
"Si l'on conçoit les nombres impairs rangés par ordre à la fuite l'un de l'autre, il réfulte une progression arithmétique indéfinie, dont le premier terme eft 1, & la différence 2: c'eft ce qu'on nomme la fuite des impairs.
Cette fuite a une propriété remarquable relative à la formation des puiffances; mais qui n'a jufqu'ici, du moins que nous fachions, été connue ni développée qu'en partie. La voici dans toute fon étendue.
A toute puissance numérique d'une racine r & d'un exposant e quelconques, répond, dans la fuite générale des impairs, une fuite fubalterne des termes consécutifs, dont la fomme eft cette puiffance même.
Il s'agit d'en déterminer généralement le premier terme p, & le nombre de termes n."
durée
13+23+..+n3=[n(n+1)/2]2
matière , contenu
u(n)=n2(n+1)/2 et v(n)=n2(n-1)/2.
On a u(n)-v(n)=n2 et u(n)+v(n)=n3
On considère la somme des nombres impairs (2k-1) pour k allant de v(n)+1 à u(n).
Cette somme s'écrit:
(2*v(n)+1)+...+(2*u(n)-1).
Il y a u(n)-v(n)=n2 termes et la moyenne entre le premier et le dernier est u(n)+v(n)=n3.
La somme est donc égale à: n3*n2= n5.
1=15
5+7+9+11=25 (4 termes)
19+..+35=35 (9 termes)
49+51+..+79=45 (16 termes)
101+103+..+149=55 (25 termes)
La source de cette question est une note du professeur Etienne Midy dans les Nouvelles annales de mathématiques (tome 5, 1846, pp. 640-646). (Numérisé). La même année à l'Académie des sciences, il y a plusieurs notes à ce sujet. Mais ce résultat sur la suite des impairs est très ancien. Dans l'Encyclopédie méthodique [Mathématiques, tome II, 197-199, publié en 1785], Jean-Joseph Rallier des Ourmes (1701-1771) écrit (dans la langue de l'époque):
"Si l'on conçoit les nombres impairs rangés par ordre à la fuite l'un de l'autre, il réfulte une progression arithmétique indéfinie, dont le premier terme eft 1, & la différence 2: c'eft ce qu'on nomme la fuite des impairs.
Cette fuite a une propriété remarquable relative à la formation des puiffances; mais qui n'a jufqu'ici, du moins que nous fachions, été connue ni développée qu'en partie. La voici dans toute fon étendue.
A toute puissance numérique d'une racine r & d'un exposant e quelconques, répond, dans la fuite générale des impairs, une fuite fubalterne des termes consécutifs, dont la fomme eft cette puiffance même.
Il s'agit d'en déterminer généralement le premier terme p, & le nombre de termes n."
dimanche 21 août 2016
Particules, temps, durée
Particules,
points et instants,
des éléments séparés où il n’y a point d’idée de mouvement,
simplement des corrélations,
et si de pareilles constructions sont possibles,
dès lors la physique mathématique s’applique au monde réel,
en dépit du fait que ces particules,
points et instants,
ne se trouvent pas parmi les entités existant véritablement.
Le chiffre et le nombre existent et représentent l'infiniment petit ....
points et instants,
des éléments séparés où il n’y a point d’idée de mouvement,
simplement des corrélations,
et si de pareilles constructions sont possibles,
dès lors la physique mathématique s’applique au monde réel,
en dépit du fait que ces particules,
points et instants,
ne se trouvent pas parmi les entités existant véritablement.
Le chiffre et le nombre existent et représentent l'infiniment petit ....
Leonhard Euler
Leonhard Euler n’usa point de mots ou de tournures poétiques pour démontrer l’existence de Dieu,
mais d’une équation mathématique:
mais d’une équation mathématique:
«Monsieur, (a+bn)/n=x
donc Dieu existe
, répondez!»
vendredi 5 août 2016
vendredi 10 juin 2016
Triangle de pascal
Les premières lignes :
1
11^2 = 121
11^3= 1331
11^4= 14641
Vues comme un TOUT.
L'égalité « » est vraie dans toutes
les bases naturelles strictement
supérieures à 2.
1
11^2 = 121
11^3= 1331
11^4= 14641
Vues comme un TOUT.
L'égalité « » est vraie dans toutes
les bases naturelles strictement
supérieures à 2.
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